Souffrance et lutte sont les deux mots qui caractérisent mes cinq lectures du mois de juin. On dit toujours qu’il faut garder espoir mais parfois le prix du combat est élevé.

⭐️⭐️⭐️Une histoire italienne ⭐️⭐️⭐️

Laura Ulonati nous met face à un  homme à la personnalité excessive vouant un culte sans limites à Mussolini depuis sa jeunesse. Il a fait la guerre mais en est revenu dévoré de doutes qui rendent sa vie difficile.

⭐️⭐️⭐️Au nom des pères ⭐️⭐️⭐️

L’auteur, Mathieu Tazo nous fait entrer dans la souffrance des résistants, des soldats, des familles qui attendent le retour des leurs, d’une mère qui remuera ciel et terre pour retrouver le père de l’enfant qu’elle porte.

⭐️⭐️⭐️Le schmock ⭐️⭐️⭐️

Pourquoi le nazisme a t-il existé ? A travers l’histoire de deux familles allemandes,  Franz-Olivier Giesbert développe les raisons pour lesquelles tous les événements se sont imbriqués les uns aux autres et ont créé une destruction sans bornes à travers deux guerres. Les sentiments d’amour et d’amitié sont mis à rude épreuve.

⭐️⭐️⭐️La note américaine ⭐️⭐️⭐️

David Grann, journaliste et écrivain a fait des recherches très poussées pour nous expliquer l’histoire d’une tribu indienne, les Osages. Cette population réclame justice après avoir été spoliée de ses biens, de ses terres et parfois de la vie de certains de ses membres par les gens du gouvernement américain.

⭐️⭐️⭐️Le chant des revenants ⭐️⭐️⭐️

Le roman de Jesmyn Ward est basé sur le combat des grands-parents et des petits-enfants pour maintenir le lien avec les parents malmenés par la vie et ne pas oublier que la famille existe.
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